Travaux pratiques

Le fait était déjà notable et je cédai illico à l’envie d’en
faire une mention sur ma page Facebook, juste pour partager avec quelques
camarades le plaisir de cette évocation de la démocratie de proximité.
Accessoirement, ce deux colonnes me rappelait une soirée en banlieue de Metz,
lors des primaires socialistes pour la présidentielle.
On aurait pu en rester là ; mais voilà que le « jeune confrère »
responsable de cet articulet m’explique (en me donnant au
passage du « Monsieur » et du vouvoiement, l’animal, histoire de
réveiller mon blues du quinquagénaire) qu’il est parti en virée parce
qu’exaspéré par le plantage de nos sites web .
« Je me suis dit : allons raconter ce que ni France 3, ni Facebook ne sauront.
Et j'ai adoré cet instant, vraiment ! », poursuit-il. Eh bien,
voilà : en deux phrases, tout le charme de notre métier, avec ou sans web.
C’est bien, non ?
Et en
plus, cette historiette me donne le prétexte que je cherchais plus ou moins
consciemment pour réanimer ce blog. On verra bien si ça dure !
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