lundi 13 juillet 2009

De passage

Même démobilisé, un journaliste reste en proie à des démangeaisons d'écriture. En témoigne le petit billet publié dans le courrier des lecteurs du dernier Télérama (n° 3 104), signé... Dominique Dréan.

Dominique Dréan a quitté la rédaction du journal qui m'emploie un peu sans dire au revoir, mais, bon. Ça n'empêche qu'il présente une particularité très remarquable : ce journaliste est resté plus de vingt ans dans la même rédaction sans que je n'entende jamais personne dire du mal de lui. Et ça, dans notre belle profession, c'est un sacré exploit ! Même l'ancien rédac' chef, pourtant champion toutes catégories en matière de médisances gratuites, ne s'est jamais exercé sur Dominique. Ou alors, c'est passé inaperçu.

En plus, je crois me souvenir que Dominique Dréan est un lecteur et amateur d'André Hardellet ( Le Seuil du Jardin, Lourdes, lentes... ). Ce qui fait qu'on regrette encore plus son départ...

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